Une voix douce et envoûtante, des morceaux qui nous bercent ; Roni Alter, véritable artiste humaine, est définitivement une étoile montante à suivre.
Une artiste talentueuse et touchante
  Cette jeune israélienne, fille d’un père compositeur et cinéaste et d’une mère comédienne a baigné dans la sensibilité artistique dès son plus jeune âge. Musicienne accomplie et compositrice, une voix douce et chaleureuse, Roni Alter s’est laissée imprégner toute son enfance par l’univers bohème israélien qui marque aujourd’hui son identité musicale, avec parfois des touches de jazz ou de folk. Talentueuse et touchante, elle a su s’entourer des plus grands noms de la scène israélienne, tel Arik Einstein. Installée depuis quatre ans à Paris, Roni Alter s’attelle aujourd’hui à conquérir le cœur des Français, ce qui ne saurait tarder.
What’s on your mind, l’EP qui berce nos oreilles.
  Le troisième opus de Roni Alter, What’s on your mind, est une véritable pommade pour nos oreilles. Dès la première écoute, l’envie nous prend de fermer les yeux et de se laisser bercer par ces six titres, le sourire aux lèvres. L’histoire de son écriture, particulière, explique une composition remplie d’émotions. La jeune artiste a en effet donné vie à  la plupart de ses chansons lors de son arrivée à Paris, alors partagée entre l’excitation de débuter une nouvelle vie et la mélancolie de quitter Tel-Aviv, la ville qui l’a vue grandir. Le premier single, qui a donné son nom à l’EP, transmet d’ailleurs l’atmosphère générale de l’album tout comme son contexte de composition, puisque le clip a été tourné à Paris.
https://www.youtube.com/watch?v=TExTVEZbqN4Contrairement à son premier album et dans la continuité de son second opus, What’s on your mind est exclusivement écrit en anglais. Le premier titre, « Lazy », pourrait parfois rappeler les mélodies de Lana Del Rey avec son fond de synthé-éléctro, très léger, alors que « Circle » est quant à lui un peu plus folk. Mais dans chaque titre l’empreinte vocale et musicale de la chanteuse est omniprésente, faisant de son EP un tout cohérent, en miroir de sa personnalité. Au-delà de ses propres compositions, Roni nous offre une très jolie reprise d’ « I follow rivers ». A l’image de sa réappropriation d’ « I feeling good » de Nina Simone, son icône, il y a trois ans, notre artiste semble transformer chaque morceau qu’elle touche en or, même quand il ne s’agit pas des siens.Â
https://www.youtube.com/watch?v=SPGGdijkArcEnfin, pour le dernier titre de son EP, Roni Alter a confié le remix de « Once again » à l’artiste Bass Fly qui nous offre un morceau rythmé sans le dénaturer pour autant.
Pour découvrir cette perle rare et son EP, rendez-vous sur sound cloud.Â