Bonjour Florent, bonjour Pauline. Pouvez-vous brièvement vous présenter? Qui êtes vous ? D’où venez-vous ? On est les Part Time Friends, on vient d'Aix en Provence, de Corse de Paris et notre truc c'est d'essayer de faire des bonnes chansons.
Vous avez sortis votre second album intitulé "Born to try". Qu'est ce qu'il représente? Qu'est ce qu'il dit ce titre ? Tout. Essayer. C'est la chose la plus concrète du monde et la moins en même temps. Un peu comme le succès de "3 cafés gourmands" par exemple. 10 ans d'amitié... Quel est votre secret pour si bien vous entendre ? Comme tout le monde, les non dits et le mensonge. Pourquoi Part-Time Friends d'ailleurs ? On a pris le début de la chanson "Anyone Else But You" et on a contracté. Et puis comme on se déchire la gueule tous les 15 jours, ça correspondait bien Los Angeles, Monnouth, la Corse.... ça fait quoi d'enregistrer un album dans le monde ? Ça fait plaisir car en plus c'est en note de frais. Puis bon nous on a vraiment envie que notre musique voyage mais au pire si nous on arrive à voyager c'est déjà le début du commencement de la victoire. La chanson titre de l'album "Born to try" dégage une atmosphère pop et malicieux. Comment a été écrite cette chanson ? Franchement, c'était chaud on a galéré pendant 3 jours. Pauline est rentrée dans sa pokeball quand c'est devenu trop tendu et j'ai failli en venir au mains avec Tom, le réal. Et puis tout d'un coup est sorti le refrain et ça c'est fini en un gros quart d'heure après ça. Malice douloureuse mais malice quand même. Comment on écrit à deux ? C'est quoi la recette ? Mmh, ça fait qu'on a 4 mains, donc c'est un peu comme faire un Twister : C'est pas facile mais quand on y arrive, on est encore plus content, je dirais. En 2016, on découvrait votre chanson "Here we are" dans une campagne de pub pour Citroen. ça fait quoi de s'entendre à la télé? Quelles émotions on ressent ? Ça fait plaisir et ça te rappelle de vite t'inscrire à la Sacem.Part-Time Friends : "Notre truc, c'est d'essayer de faire des bonnes chansons"
17 octobre 2018, par Untitled Magazine