Jeremy Booth présente sa première exposition française intitulée « The Simple Life » où les œuvres minimalistes font écho à l’Amérique rétro des années 50. A voir jusqu’au 29 octobre à la galerie Sergeant Paper.
Jeremy Booth, c’est d’abord un grand amoureux d’architecture et de design. Cette passion associée à celle du design graphique l’ont conduit à réaliser une série d’illustrations sur le thème des façades architecturales américaines et des objets familiers du milieu des années 50, qu’il intitulera « The Simple Life ».
Non, il ne s’agit pas d’une quelconque forme de témoignage à cette délicieuse émission animée par les très distinguées Paris Hilton et Nicole Richie. Par cette exposition, l’artiste a souhaité mettre en forme son amour pour le design à cette époque du XXème siècle : On y observe une réelle rupture avec l’architecture traditionnelle ; les surfaces deviennent plus lisses, les éléments décoratifs disparaissent pour laisser place à un style plus régulier et moderniste.
Jeremy Booth et sa maîtrise saisissante des jeux d'ombres et de lumières
Les réalisations de Jeremy Booth appartiennent sans conteste à cette mouvance de création visuelle minimaliste, soutenue par des couleurs vives, des formes franches, et un fort pouvoir évocateur. Au même titre que ses créations sur l’architecture et le mobilier, on pense également au travail de Thomas Danthony et ses rêveries à la nuit tombée ou encore à celui de Malika Favre et son obsession pour les lèvres bien maquillées.
Jeremy Booth est un jeune artiste prometteur dont les capacités créatives au niveau professionnel sont déjà bel et bien reconnues. En effet, Jeremy a déjà travaillé pour Amazon, Samsung ou encore MetaLab.
Venez vite découvrir ses fabuleuses illustrations ponctuées de jeux d’ombres et de lumières qui vous feront voir l’architecture américaine d’un autre œil !
-- « The Simple Life » par Jeremy Booth Du 13 au 29 octobre Galerie Sergeant Paper 38, rue Quincampoix, 75004 Paris