Hip Hop, danse classique et contemporaine sont dignement représentés et sublimés en mars à la Maison de la Danse.
Après avoir envoûté son public avec Giselle du Yacobson Ballet, qui s’est avéré être un spectacle aussi stupéfiant que merveilleux, La Maison de la Danse de Lyon présente un programme éclectique, adapté à tous les publics et immanquables.
C’est sa particularité. La Maison de la Danse fait partie de ses institutions qui promettent de très belles soirées. Amateur de pas dansés, le public est transporté. Que les représentations soient issues du classique ou du modern jazz, les vocations naissent après un moment à la Maison de la Danse.
Le 29 février, les spectacles reprennent. La Compagnie Maguy Marin présente May B. les 10 danseurs, aux visages blafards, s’exécutent sur une danse inspirée de l’œuvre de Samuel Beckett. May B occupe la scène jusqu’au 2 mars. La Compagnie se déplace ensuite les 4 et 5 mars au Toboggan de Decines pour y présenter Bit.
Du 5 au 12 mars, le public découvre les quatre pièces qui composent Les Ballets Trockadero de Monte-Carlo. Suit Haute Résilience du Groupe Entorse et Vader de Peeping Tom les 15 et 17 mars. Le 19 mars, la journée est complète avec Je clique donc je suis de Thierry Collet, Aurora / Three studies of flesh / P=mg de Blanaru / Lomoff / Gallois et le Collectif Es et Noé Soulier viennent pour Hippopotomonstrosesquippedaliophobie* / Removing.
Du 23 au 26 mars, c’est au tour du hip hop de ravir l’espace avec Rouge de la Compagnie S’poart. Mars se termine avec exotisme avec São Paulo Dance Company. Pour sa première fois lyonnaise, la compagnie brésilienne envoûte et charme avec de la danse classique.