Léo, 14 ans, sort d’un hôpital psychiatrique où il a fait un court séjour. Orphelin depuis son plus jeune âge, il s’est réfugié dans l’écriture et a toujours rêvé de rencontrer son idole : Claude Lelouch. Son ami Nino, avec lequel il a grandi en foyer, l’attend à sa sortie. Ils sont inséparables, comme deux frères.

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Mais un jour, Nino disparaît avec la nouvelle que Léo vient de terminer. Il n’a laissé qu’un mot expliquant les raisons de sa fugue : trouver Claude Lelouch et lui apporter l’histoire. Au fil du périple, Nino envoie des lettres à Léo, lui contant l’évolution de son aventure. Mais Léo commence à se douter que les raisons de la fugue de son ami sont d’une autre nature.

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Dès les premières minutes d’Hasta Manana, on se prend d’affection pour le jeune Léo. On suit son arrivée au foyer et on le retrouve quelques années plus tard, à sa sortie d’hôpital. Très vite, on découvre ce lien fusionnel qu’il vit avec Nino, jusqu’à la fugue de celui-ci. Pendant le film, on voyage entre les péripéties racontées par Nino dans ses lettres et le mal être de Léo, qui pourtant se fait un nouvel ami.

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Cette histoire entre les deux jeunes garçons montre le besoin de sécurité dans les foyers. Entre les différents enfants, les règles et les adultes qui ne disent pas toujours la vérité, on peut se sentir perdus. Cependant, ce n’est pas le cas avec Hasta Manana. Si on peut s’attendre à quelques rebondissements, on suit une histoire parfaite pour l’été. De plus, le casting se révèle vraiment bon.

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